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 avril - mai - juin - juillet 2004 Que pensez-vous du projet Page & Plant (Unledded & Walking Into Clarksdale) ? 
 Christophe (Brest, France) Ce projet, Unledded & walking into 
        Clarksdale, est... sympa. Ouais, c'est ça sympa mais sans plus.C'est 
        clair que ça fait du bien, que ça fait chaud au coeur de 
        retrouver nos idoles mais les voir sans les deux acteurs principaux de 
        la rythmique zeppelinienne n'a pas vraiment de sens. De plus, j'ajouterai 
        que vouloir faire revivre le mythe comporte toujours de grands dangers 
        pour celui ci. The Ermit - http://membres.lycos.fr/ermit Ben les P/P c'est une grosse honte, Plant est une vieille chèvre aphone et fait preuve d'un népotisme affligeant en imposant ce bassiste inexistant à la place de JPJ, ce qui fait qu'on ne doit pas considérer ça comme une reformation de Led Zep, mais bien comme ce que c'est réellement, à savoir un demi-Zep dans du formol. Les deux albums qui ont été générés par cette non-reformation sont peu intéressants, surtout No Quarter qui est constitué presque entièrement de reprises zeppeliniennes négationnistes : donner à l'album le titre de cette chanson alors que la version qu'il en contient efface totalement la contribution de JPJ aux claviers (dont c'était justement le morceau symbole en live entre 73 et 79) illustre bien l'attitude insultante des P/P envers JPJ. Quand à la version déliquescente de Kashmir, c'est une trahison envers le souvenir de Bonham (dans les versions de Led Zep c'était lui la force qui soutenait et propulsait le morceau)... Sans oublier que tout ça s'est fait sous le patronage de MTV. Le seul point positif c'est que ça a peut-être apporté une couverture médiatique supplémentaire à la musique du Zep, et que les plus jeunes ont peut-être pu découvrir l'original par ce biais-là (quoique qu'il y eut aussi pour ça la version de Kashmir par Puff Daddy ;p)... Thierry (La Roche sur Yon, France) - http://thierryzeppelin.free.fr J'ai bien aimé Unledded, les arrangements, l'ensemble de la relecture - les b sides des singles comprises - mais je regrette cependant le peu de compos nouvelles, seulement 4, pour cet album. En revanche, Walking est vraiment un disque de feignants comme jamais j'en ai vu, je me range du côté de Martin Meissonnier car je crois qu'il a entièrement raison sur la qualité de ce disque. Michel Cela a quand même eu le mérite de leur faire faire deux tournées, et donc d'avoir eu le plaisir de les voir par deux fois en 95 et en 98. C'est vrai qu'a part ça les deux CDs ne sont pas des monuments, de toutes façons, après HOTH, il n'y a plus eu de monuments... Pierre Daumerie (Louvain-La-Neuve, Belgique) Bonsoir à tous ! J'ai lu toutes vos remarques et j'en suis 
        un peu déçu. Oui ! Plant ne chante plus comme avant. Oui 
        ! Page a un peu d'arthrose dans les doigts... N'allez surtout pas imaginer 
        qu'ils allaient faire la même chose durant toute leur vie ! Vous 
        êtes en train de discuter afin de savoir si c'est encore du Led 
        Zepp' ou non ; le prétendent-ils encore ? Je ne crois pas que ce 
        soit marqué ! Je crois que faire partie d'un groupe de légende 
        ne doit pas être facile, parce que, maintenant, ils doivent l'assumer 
        (oui, c'est le mot). Sur ce, j'ajouterai que Page a juste l'air paumé 
        et qu'il "se cherche". Vous préférez ça, 
        ou un mec comme Clapton qui se recycle complètement et qui va dans 
        le sens opposé de sa musique d'antan (à interpréter 
        dans le sens négatif que ça peut prendre) ? Säm ben franchement je trouve les deux cd completement 
        nul.... C'est plus du Led Zeppelin, c'est du Phil Collin... Par contre, 
        leur lives reste bien... Dommage que les album ne suivent pas... Bertrand Portier - http://membres.lycos.fr/quartzep “No Quarter” fut en 1994 la réunion inespérée entre les deux protagonistes de Led Zeppelin, qui, on s’en souvient, s’insultaient régulièrement par médias interposés. Néanmoins Page déclarait souvent qu’il était ouvert à tout rapprochement avec son ancien co-songwriter. C’était bel et bien Plant qui refusait systématiquement d’une part de reformer Led Zeppelin sous ce nom (“le vaisseau serait hanté et non habité”), et d’autre part d’envisager de nouvelles écritures avec Page. Plant a eu d’ailleurs une vision assez amusante de leur collaboration lors des séances “Now & Zen” et “Outrider” (1988): ”j’ai eu l’impression de coucher avec mon ex-femme sans avoir pu la baiser”. De ces deux déclarations Plant n’a tenu parole que sur la première. Plant n’a pas reformé Led Zeppelin, mais il a finalement accepté la publication d’un album de réunion, No Quarter, qui n’est rien d’autre, en fait, qu’un enregistrement public d’une session MTV “unplugged” rebaptisé pour l’occasion “unledded”, c’est à dire les reprises d’ancien titres acoustiques, revus non pas au goût du jour, et là est toute la force de l’album, mais sous le surlignage des caractères acoustiques, ou symphoniques, et surtout orientaux, omniprésents sur les oeuvres originales. L’album est assorti de 2 ou 3 nouvelles compositions mineures faites pour l’occasion. N’en déplaise à l’ami The Ermit, la vision aujourd’hui, 10 ans plus tard, d’un dvd - peu officiel mais non moins brésilien - de ce concert, donne la chair de poule à tout amateur de rock classique. Au sortir de la période la plus pauvre de l’histoire de la rock musique (années 80 jusqu’à 93- 94... 1994??? Mon Dieu, “No Quarter” aurait-il extirpé la scène rock de sa léthargie???), les deux marteaux des dieux étaient de retour pour brûler les terres, et ce tout au long de la tournée mondiale qui a suivi... Désolé Percy, l’orgasme, et la passion ont bien eu lieu... De plus, je préfère de loin la version de Kashmir 1994 que celle de “Physical Graffiti” qui m’a toujours assez ennuyé. C’est là que Plant a retrouvé la rage vocale perdue depuis des lustres, c’est là que Page a retrouvé toute son inspiration. 1998, soient 4 ans après “No Quarter”, Page et Plant se retrouvent à nouveau pour un album original très rock. “Walking into Clarksdale”. Il s’agit en fait, véridiquement, foncièrement, entièrement, en substance, du dixième album studio de Led Zeppelin. No comment. Alexandre "Muzic_Alex" (Charenton le Pont, France) Pour ma part, je trouve "Unledded" 
        intéressant, l'ambiance "arabo-acoustique" y est très 
        chaude, le choix des morceaux judicieux et tout à fait adapté 
        à ce style. Les versions de "Kashmir", "Nobody's 
        Fault but Mine" et de "Four Sticks" (pour ne citer que 
        mes préférées) sont excellentes.  John Duff (Essone, France) Personellement je pense que ce projet est de trop, en effet il ne sont plus a leur meilleur niveau (normal ce sont des etres humains avant d'etre des dieux) et Led Zep c'était un mythe de puissance quelque chose de fabuleux avec tout les instruments au top et c'est une légendd, un mythe et des fois il faut savoir dire stop. Regardez les Clash ils ont quitté la scene et ne sont jamais reformé, les beatles idem tout ces groupes ki se sont séparé sont restés des legendes car ils ont su dire stop kan il le fallait. Mais après tout ce projet si il est dans une direction opposé a Led zeppelin pourquoi pas. Nicolas (Cognac, France) Moi j'ai été super heureux 
        de la sortie de No Quarter. En plus les morceaux sont superbes et j'ai 
        retrouvé le Led Zep que j'aimais c'est à dire celui qui 
        osait des choses nouvelles. Même s'il s'agit principalement de reprises, 
        y a pas à dire, ils n'ont pas choisi la facilité. Pis faut 
        pas oublier la vidéo qui venait enfin après TSRTS. Alain (Aulnay sous bois, France) pour ma part, unledded est un retour des 
        deux illustre dieu du rock, jimmy et robert plant, j'ai eu la chance de 
        les voir en chair et en os au cirque d'hiver a paris pour la sortie de 
        la vidéo,(cocktail, presse ,tv), j'ai serrer la main de dieu, ( 
        pour info, je l'ai coupé et mis en vitrine chez moi). walking lui , bon la je vais être méchant, est pour ma part , l'album de trop!!!!!! nul, rien de bon, page est au abonné absent, rien a voir avec du zeppelin, c'est plutôt un album de plant je trouve, très très decus a la sortie, encore aujourd'hui ,il doit être au fond de mon range cd, plein de poussiere. les tournées eu, la oui, un grand 
        oui, voir nos deux compères ensemble, quel pied!!!!!!! Jeff - http://membres.lycos.fr/jfdelepi/led_menu.htm Je suis assez surpris de la reaction de certains. "Unledded" est excellent album, 
        c'est evident ! Bien des gens ont pris du plaisir a l'ecouter, sans pour 
        autant faire le lien avec le Led Zep. Moi, c'est l'album qui m'a fait 
        decouvrir le reste !  Guillaume (Bordeaux, France) Pour moi No Quarter est très réussi. Détestant farouchement les sons de claviers toc de Jonesy sur toutes ses participations zeppeliniennes (ce qui n'entache pas ses dons de bassiste), j'y ai retrouvé enfin une magnifique version de Kashmir, qui a le mérite d'aller au bout des diverses influences arabisantes. Je trouve la plupart des reprises excellentes, et les morceaux inédits gentillets, plus inspirés par Plant. Le problème vient justement de Page, en particulier pour Walking into Clarksdale, album certes aux consonnances de 10eme album du zep, mais de loin alors... Page depuis 1975 a doucement sombré, si Plant a flingué sa voix, il a quand même su en tirer de belles choses, Page lui me fait l'effet d'avoir perdu toute présence et toute créativité, un vrai fantome. Il retrouve sa flamme sporadiquement, en particulier quand il joue du zep, surtout avec Percy. Walking into Clarksdale est assez inégal, les 2 membres de remplacement sont plutot discrets, et lorsque l'on voit les morceaux choisis pour la tournée de 98, on comprend que ce walking n'est pas resté dans les mémoires de ses auteurs ! Mais bon, mise à part le dernier album solo de Plant, leur collaboration reste ce qu'ils ont fait de mieux hors-Zep, et puis ça fait quand même plaisir de les revoir ensemble. Manu Ben moi... j'ai littéralement sauté sur les deux albums dés que j'ai appris leur existence... pi... après deux écoutes... je suis retourné aussi sec sur le deuxième album du zep... et ca... ca fait l'effet d'une douche chaude après s'être roulé dans la mer**... donc bon... vous avez mon avis hein... Pierrou (Nancy, France) - http://pierrou.free.fr Hello, On pourra aussi facilement détester 
        la voix de Plant sur ce disque, beaucoup moins flamboyante que par le 
        passé. OK. Mais ce disque qui aurait pu n'être qu'un recueil 
        bancal et bâclé, comme la plupart des gens ici semblent le 
        penser, recèle en fait douze trésors, certes un peu enfouis, 
        pas forcément évidents à la première écoute, 
        mais douze trésors quand même. Comment peut-on résister 
        au premier titre, qui mélange de la façon la plus zeppelinienne 
        qui soit acoustique et électrique, à la façon de 
        Over The Hills, et Plant y retrouve d'ailleurs une voix que l'on ne lui 
        connaissait plus depuis 1973. Cette voix, justement, on sent qu'elle a 
        morflé, mais (avec ou sans jeu de mots), Plant a changé 
        de registre.  Chaque titre de l'album, quelle que soit 
        l'inspiration initiale du riff ou de la mélodie, est dotée 
        d'un ou plusieurs points forts qui le rendent magnifique et unique. Burning 
        Up, de toute évidence, n'est pas un chef d'oeuvre, mais le tour 
        de force de Page, qui a joué riffs et solos live en une prise de 
        guitare lui insuffle une énergie incomparable. Et puis qui d'autre, 
        à part Page, est capable de jouer ainsi sur les nuances, jamais 
        tout à fait paisible, jamais vraiment survolté, toujours 
        navigant en eaux troubles entre ces deux extrêmes. Les passages 
        doux sont remplis de violence sourde, et les passages plus animés 
        conservent toujours un fond de mélancolie, un peu comme sur Rain 
        Song auquel cet album me fait furieusement penser. Et il faut arrêter 
        de caricaturer Page et Plant en vieux pépés juste bons à 
        ressasser un passé révolu. Walking Into Clarksdale est un 
        disque de son époque, qui a habilement su éviter la tentation 
        électro-world-soupe (petit clin d'oeil extra: la petite rythmique 
        synthétique qui clôt l'album) pour lui préférer 
        à un rock plus brut tout à fait dans la tonalité 
        de la fin des 90's. Et dernier point, Albini est aux manettes, il se trouve 
        que c'est mon dieu, que j'aime sa façon d'être et son travail, 
        et qu'il fait encore des miracles sur le disque de Shannon Wright qui 
        vient de sortir...  Stève ANSEL (Chaumont, Haute Marne 52, France) Contrairement à ce que j'ai pu lire 
        jusqu'à maintenant, je ne partage pas l'avis des autres intervenants. 
        En ce qui me concerne, c'est avec une joie non dissimulée que je 
        me suis jeté dans les bacs pour acheter « No Quarter » 
        de 1994. Je n'ai pas eu le plaisir de voir le grand dirigeable sur scène 
        et je le regrette bien !!!  Fulgo 78 (Yvelines, France) Je ne tenais pas forcément à 
        partager mes sentiments à l'égard du projet Page & Plant. 
        D'ailleurs, je ne me prononce que très rarement à leurs 
        sujets. Si il y a bien une chose qui me désole, c'est la récurrence 
        des beaux parleurs qui, sans vergongne, osent porter, non pas un avis, 
        mais un jugement sur le projet P&P. Pour ma part, je ne regrette rien, les 
        deux derniers opus de P&P sont remarquables. Il ne faut pas y voir 
        de la fougue ou du sensationnel mais plutôt de la pérennité 
        et de la perfection. Maintes morceaux sur ces deux albums sont tout simplement 
        magiques: SIBLY ( une merveille de fluidité), Kashmir ( fusion 
        réussie de deux mondes musicaux ), Thank you, Gallows pole, Most 
        high, Burning up, When the world was you, ..... Voilà, mon avis sur le projet P&P. Il ne rejoint en rien les autres mais c'est le mien. J'ai conscience de ne pas être suffisamment objectif sur les membres du dirigeable. Seulement je ne comprends pas que certains "fans" soient irrespectueux. NB: Led zeppelin n'est pas mort, Led zeppelin dort... Seb (Montpellier, France) Commençons par le Unledded, cette 
        démarche avait déjà était tenté par 
        led zep, il existe des versions de "Friends" et "Four sticks" 
        qui ont été enregistré ac un orchestre "oriental" 
        mais hélas ces versions ne sont trouvables qu'en Bootleg.... A 
        l'écoute du Unledded je noterais 2 choses; d'un part les divers 
        réarrangements des chansons (plus ou moins bien c'est à 
        vous de voir, Tank You en électrique c'est pas mal mais pour une 
        fois que jimmy page nous avait sorti un petit solo à l'acoustique 
        en studio...!!!) et d'autre part le son, je penses qu'au niveau des ingénieurs 
        du son, on aurait pu faire quelques efforts pout rendre la guitare de 
        jimmy page et l'orchestre moins saturé, je parles au niveau des 
        micros (la saturation de la guitare ça c'est cool!). Dans l'ensemble 
        un bon album qui fait ressortir la face orientale de led zep et P/P. Honnêtement la question que je poses et à laquelle je n'arrives pas à donner de réponse claire est :Pourquoi led zeppelin est si unique, ils partent de racines blues (comme bcp de groupes) et arrivent à créer des arrangements qui dépassent absoluement tout...!!! Alchimie me dirait vous... Surement la meilleure réponse qui soit. Julien (Agen, France) Philippe 1) "Unledded" a surtout permis de relancer 
        les 2 compères Page & Plant (dont les carrières battaient 
        de l'aile, surtout Page - Plant ayant presque convaincu avec son précédent 
        studio album The Fate Of Nations) et de lancer la tournée 1995 
        (+ la tournée japonaise 96) : l'album (à la fois) me plaît 
        (il reprend des titres rarement joués live & c'est une réunion 
        longtemps attendue et inespérée) et me déplaît 
        pour plusieurs raisons :  |